Bien avant l’apparition du premier bookmaker, le système de mises d’Alembert était populaire parmi les habitués des casinos et surtout parmi les joueurs à la roulette.
Malgré le fait que le bookmaker d’après ses principes d’organisation ne ressemble pas du tout au casino, la méthode d’Alembert est assez souvent utilisée par les parieurs pour obtenir l’avantage sur bookmaker. Il est curieux que pour utiliser cette stratégie il n’est pas obligatoire du tout de connaître bien le sport, lire l’information analytique et pronostiquer individuellement la probabilité de tel ou de l’autre résultat. Il faut uniquement suivre les règles et faire des mises.
Les règles de la méthode d’Alembert sont très simples. Chaque fois quand votre mise est perdue, vous l’augmentez d’un unité (valeur fixe). Chaque fois quand votre mise gagne, vous diminuez la mise d’un unité.
Le montant de valeur fixe est choisi par le joueur individuellement en fonction de ses possibilités financières. Pourtant on ne peut pas changer la valeur fixe au cours du jeu.
Pour l’utilisation de cette méthode conviennent les cotes de 3 à 4 (d’habitude le bookmaker propose beaucoup de variantes comme ça). Autrement dit, ce sont des paris assez risqués qui seront généralement perdus. On espère que grâce à l’augmentation successive (et à la diminution) des mises le joueur aura finalement le bénéfice.
Comme plusieurs autres stratégies, inventées par les joueurs au casino, la méthode d’Alembert a un défaut important. Au début, la série des mises perdues successivement peut être trop longue et sensible pour le parieur pour qu’il puisse continuer.
En prenant en considération les cotes élevées, il faut être prêt par avance à un tel déroulement des événements. Encore une nuance: le montant du bénéfice dépend directement de la mise initiale et du montant de valeur fixe, pour lequel vous allez changer les mises suivantes. Pourtant, vu les risques, la plupart de joueurs n’osera pas de miser de grosses sommes d’argent, donc le gain sera assez limité.