Les mises «mi-temps-match» que propose tout bookmaker qui se respecte, promettent les cotes beaucoup plus élevées par rapport à celles sur le résultat de l’événement, ce qui permet de les utiliser pour des stratégies rentables, mais à la fois assez risquées.
Rappelons que selon les conditions des paris «mi-temps-match», le joueur doit indiquer quelle équipe va gagner la première mi-temps et qui va gagner le match.
Par exemple, la mise V1/V2 signifie que la première mi-temps va gagner la première équipe, mais le match va gagner la deuxième équipe. Outre les victoires, le bookmaker propose de fixer le résultat nul, par exemple X/V2, cela veut dire que la première mi-temps va se solder par le résultat nul, mais finalement c’est la deuxième équipe qui s’imposera.
Il n’existe pas de stratégie universelle «mi-temps-match» qui pourrait être utilisée pour tous les matchs sans exception. Chaque fois il faut analyser la statistique et avoir une idée nette et claire dans quel état sont les adversersaires.
Néanmoins il y a quelques recommandations. Si vous croyez que l’une des équipes gagne la première mi-temps, il n’est pas judicieux de miser sur sa défaite à la fin de la rencontre parce que d’après la statistique cela arrive rarement. Respectivement les mises du type V1/V2 ou contraire sont à éviter. Surtout au cas où jouent deux équipes dont les forces sont à peu près égales. Il vaut mieux miser X/V1 ou V1/V1.
Si le bookmaker propose les mises «mi-temps-match» pour les matchs où il y a un favori incontestable, alors il ne faut pas miser V2/X, parce que l’équipe à priori plus forte (dans ce cas V2) ne ferait pas un match nul et surtout ne perdrait pas. Il est raisonnable de miser sur le nul à la fin de la mi-temps et sur le nul à l’issue de match X/X ou sur la victoire de l’outsider après la mi-temps et sur le nul à la fin du match V1/X.
En prénant en considération les cotes élevées que propose le bookmaker pour les mises «mi-temps-match», si le parieur fait de bons pronostics, il peut obtenir des bénéfices importants qui couvriront avec une marge des pertes liées avec les paris perdues. Pourtant nous soulignons encore une fois que beaucoup dépend de la capacité du parieur d’analyser bien l’information et choisir les variantes des résultats les plus probables.